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Traitements de surface

La résistance mécanique dépend surtout de la présence ou non de défauts de surface que le verrier va chercher à éviter, notamment par des traitements de surface protecteurs. Ceux-ci sont de deux types : à chaud ou à froid.

Le traitement dit « à chaud » (560°C) est déposé en phase vapeur entre la machine de fabrication et l’arche de recuisson. Il a pour but de revêtir la surface extérieure des emballages en verre afin d’augmenter sa dureté et de permettre un bon accrochage du deuxième traitement déposé après l’arche de recuisson.

Les traitements à chaud sont constitués d’oxyde d’étain (SnO2) ou de titane (TiO2) déposés généralement à partir de tétrachlorure d’étain ou de titane (épaisseur : environ 5nm).

Pour les articles consignés, un traitement de surface de type (TiO2) déposé à partir de TIPT (tétraisopropyltitane) est un meilleur choix (bien que plus cher). En effet, lors des lavages à la soude, le traitement de surface « tient » plus longtemps ce qui réduit « l’abusage » des bouteilles et accroît le nombre de réutilisations.

Le traitement « à froid » par pulvérisation, pour les produits les plus efficaces, consiste à déposer un lubrifiant (antirayure) facilitant le glissement face à la rayure. Ce lubrifiant est généralement à base de polyéthylène (épaisseur environ 1 micron).

Certains conditionneurs demandent un traitement « fugace » à base d’acide oléique déposé en phase vapeur. En flaconnage, différents traitement à base de cire d’ester et d’ester d’acide gras dérivés de polyoxyéthylène glycol sont également utilisés.

 
 
 
 
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